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En France, Jacques Barrau me communiqua les informations indispensables à la
rédaction d’un article sur le Pangium edule et Jean-Marie Bompard, botaniste spécialiste
de l’Asie du Sud-est, m’apprit quelques rudiments de sa discipline, nécessaires à la
poursuite de mes enquêtes. Que tous deux soient ici remerciés.
Mais, avant tout, ce travail aurait été totalement impossible sans la passion des Ankave
eux-mêmes pour leurs plantes. Ceux qui ont discouru soir après soir sur les feuilles que
j'étiquetais sont trop nombreux pour être individuellement cités. Je me contenterai
d’exprimer ma reconnaissance à Idzad3e Maadze Akwiïje (William) qui, entre 1987 et
1993, a joué les savants équilibristes, par tous les temps, entreprenant des ascensions
quelquefois vertigineuses pour atteindre un fruit ou une fleur. Il a pris ce travail commun
très au sérieux et avec un plaisir non dissimulé. William est sans conteste le savant
botaniste de la vallée de la Suowi1.